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Quecela soit le symbole magique que vous choisissez pour symboliser votre victoire sur les difficultés de votre vie, sachez que son symbolisme est profond. Voilà pourquoi je vous propose deux symboles de la renaissance qui ont une culture traditionnelle importante. 16. Symbole magique de la renaissance : la roue de Samsara
LeJaïnisme est l'une des plus anciennes religions du monde. Le nom vient de jiva (âme ou force de vie, également Conquérant Spirituel) car il soutient que tous les êtres vivants possèdent une âme immortelle, qui a toujours existé et existera toujours, et que l'âme peut être libérée de la souffrance par l'autodiscipline en adhérant aux principes jaïns.
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Peuimporte les circonstances, peu importe le trajet que vous avez emprunté pour en arriver là où vous êtes en ce moment présent. Les choix, les résultats, les chemins que vous avez pu prendre et ne pas prendre. Votre âme veut que vous sachiez que tout arrive pour une raison, et rien ne se passe par hasard. Ayez confiance, tout va bien
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Lanimisme (du latin « esprit » mais aussi « âme ») est la croyance en un esprit, une force vitale qui anime les êtres vivants mais aussi les objets, les minéraux et tous les éléments naturels. Nous donnons une importance aux objets et une partie de nos énergies circulent dans ses objets, nous les imprégnons en fonction de nous
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Son point de Temps La foi en la résurrection est l'élément central du christianisme. Dans la première lettre aux Corinthiens, Paul écrit S'il n'y a pas de résurrection des morts, le Christ n'est pas ressuscité. Mais si le Christ n'est pas ressuscité, vide alors est notre message, vide aussi votre foi.» Pourquoi une telle importance?Daniel Marguerat Le christianisme n'est pas né de la mort de Jésus, mais de la signification donnée à cette mort, une signification renversante. Je m'explique le décès de Jésus laissé à lui-même ne peut être commémoré que comme un événement tragique. Or, avec la résurrection, il apparaît que Dieu se range du côté de la victime, qu'il se manifeste à travers le visage de cet homme qui a souffert. Le christianisme surgit donc de la conviction que cette mort-là donne naissance à une vie autre. La résurrection confirme que Dieu a été présent dans l'aventure de Jésus jusqu'à sa fin, et qu'il va continuer à intervenir dans l'histoire. Elle permet de s'ouvrir à cette découverte que Dieu se manifeste dans la fragilité d'un homme. Quand on prive le christianisme de la résurrection, on en fait une belle morale de l'amour d'autrui, mais on le prive de l'énergie de Dieu.– A l'aube de l'an 2000, il peut sembler difficile d'adhérer à cet espoir. Comment les théologiens interprètent-ils cet événement actuellement?– La foi en la résurrection affirme qu'au-delà de la mort, de l'échec, de la souffrance, Dieu peut faire renaître la vie. C'est une possibilité qui est donnée de croire qu'après la mort d'un proche, des épreuves, un amour brisé, une réconciliation peut s'opérer avec la vie, qui me permet de lui redonner un sens et de me reconstruire. Croire en la résurrection est une lutte contre la mort, contre tout ce qui fait mourir.– Certains psychologues interprètent la foi en la résurrection comme un déni puéril de la mort.– La résurrection prend au sérieux la mort comme fin de la destinée humaine, contrairement à la réincarnation telle qu'elle est comprise en Occident. En effet, la réincarnation est vue de manière positive sous nos latitudes, car si l'on envisage de vivre plusieurs vies, alors la mort est relativisée. Elle n'est plus un drame, mais une frontière à passer vers une autre vie. La vie elle-même est banalisée. En cela, la croyance en la réincarnation est une forme de cancer de la foi chrétienne. C'est aussi une croyance fondamentalement rassurante, c'est pourquoi elle fait beaucoup d'adeptes parmi les chrétiens. Ce n'est pas ainsi que les bouddhistes la voient pour eux, la réincarnation est négative, car l'individu doit échapper au tragique des réincarnations successives pour atteindre le nirvana. La résurrection n'est pas une promesse de vie supplémentaire, elle est promesse d'une vie différente. Elle est la reconnaissance que Dieu surplombe la vie de chacun, qu'il se trouve à l'origine et à la fin de la vie.– Certains chercheurs ont émis l'hypothèse que les apôtres ont désespérément tenté de donner un sens à la mort de Jésus sur la croix, à ce fiasco, à la passivité de Dieu, par une autosuggestion ou une hallucination collective.– C'est une lecture psychologique. Cette thèse est rendue difficile par le fait que les textes répètent tous la même chose la résurrection a pris les disciples totalement à revers. Ils n'attendaient visiblement pas le retour de Jésus ils étaient apeurés et résignés, ils se terraient chez eux. Tous les récits montrent ensuite les disciples surpris par la nouveauté de la résurrection, ainsi qu'une énorme difficulté à y croire. Au début, personne n'y a cru, mis à part quelques femmes. L'Evangile de Matthieu raconte que lorsque Jésus apparaît aux disciples après sa mort, certains d'entre eux doutent. Les premiers chrétiens ont parfaitement conscience que leur message est inattendu, surprenant et difficile à comprendre. Petit à petit, ils se rendent à l'évidence. Ils ont été les uns et les autres l'objet d'une révélation qui ne provient pas d'une méditation quelconque, et habités par une conviction qui ne venait pas d'eux.– Quelle différence y a-t-il entre la résurrection et l'immortalité de l'âme?– Si on croit à l'immortalité de l'âme, on sépare totalement le destin du corps de celui de l'âme. On donne ainsi une valeur négative au premier et positive à la seconde. Une telle conception implique des conséquences catastrophiques. Elle signifie que la vie spirituelle se réfugie dans l'intériorité, que le salut ne dépend que d'une relation intime avec Dieu, et que tout ce qui touche au corps, c'est-à-dire la relation à autrui et l'engagement dans le monde, devient néfaste ou indifférent. Comme chrétien, je crois que ma foi, pour rester vraie, doit s'investir dans le monde face au besoin d'autrui. Chaque fois que le corps est séparé de l'âme, on aboutit à un christianisme méprisant à l'égard d'autrui. La résurrection des corps veut dire que c'est tout ce qui a fait la vie de l'individu – ses gestes concrets, son tissu de relations – qui sera accueilli par Dieu.– La foi en la résurrection est liée au salut de l'homme, et donc au Jugement dernier. Que signifie pour vous ce Jugement qui a terrorisé des générations de chrétiens?– Le Jugement dernier est le moment où Dieu dit la vérité de chacun. Mais l'idée du Jugement a été exploitée dans la piété médiévale dans un sens terroriste, et fait peur encore aujourd'hui. A mon avis, la foi dans le Jugement dernier est nécessaire et structurante. Elle signifie que le dernier mot sur le monde n'appartient pas aux politiciens cyniques, à l'injustice, au nettoyage ethnique, à la souffrance humaine, mais à Dieu. C'est aussi une proclamation qui m'interdit de me poser en juge des autres; elle me retient de condamner autrui. Cette croyance n'est donc pas là pour m'infantiliser dans la terreur; elle m'installe au contraire dans ma responsabilité d'adulte, appelé à rendre compte de ce que j'ai fait. Le Jugement dernier n'est finalement pas une parole qui cherche à nous donner des informations sur la fin de l'histoire, il est une parole qui nous amène à un plus grand respect d'autrui.
Cette montagne, sorte de chaînon des Pyrénées, qui lie celles-ci avec les Cévennes et le Gévaudan, et sépare le département de l’Aude de celui du Tarn, est une contrée fort pittoresque, peu connue, et qui est empreinte plus que toute autre, en raison même de son délaissement, du type de ses anciens habitants. Là, le montagnard des forêts de Lacaune ou des environs d’Angles, revêtu de son brisaout, espèce de dalmatique on de lacerna, et racontant avec gravité les hauts faits des Fassilières et des Armaciès, rappelle le Gaulois qui plaçait sur sa poitrine quelques feuilles de gui pour se préserver des maléfices, ou le Tascon tirant des présages du vol d’un corbeau ou du cri d’une chouette. On sait que des tribus de Tectosages qui occupaient le pays situé entre les Cévennes et les Pyrénées, émigrèrent à diverses époques, et allèrent, sous la conduite d’un chef conquérant, former un établissement en Asie. Après avoir parcouru et ravagé la Grèce, ils s’arrêtèrent sur lu bords de l’Hellespont, en Eolide et en Ionie ; et dans l’Asie Mineure ils fondèrent Angora aujourd’hui Ancyre. Les descendants de ces Tectosages éprouvèrent le besoin de connaître leur mère-patrie, ils revinrent peu à peu dans les contrées qui avaient été le berceau de leurs ancêtres, et y apportèrent les usages des peuples qu’ils abandonnaient. Alors la religion de ces peuples offrit le mélange du culte primitif des Celtes et du paganisme des Grecs, mélange qui se compliqua encore, dans la suite, du polythéisme des Romains et des mystères des croyances chrétiennes. Dans la montagne Noire, ce bizarre assemblage d’idées et d’actes offre un tableau des plus piquants. Les mauvais génies jouent, cela va sans dire, le principal rôle dans les superstitions de ce peuple pasteur. Les Dusiens des Gaulois, les Palamnéens des Romains ou les Prostropéens des Grecs se trouvent continués chez lui par les Fassilières, phalange de génies qui exerce sa puissance, amicale ou destructive, dans toutes les positions de la vie du montagnard. Ces Fassilières ont pour chef un être renommé, appelé Tambourinet ; après lui vient le Drac, qui est exactement le Kelpie des Écossais ; puis la Saurimonde, connue en Écosse sous les noms de Senshie et Prownie. Tous suivent, dans chaque lieu, l’hôte qu’ils se sont donné ; ils s’introduisent dans les recoins les plus cachés de son habitation, et ils affectionnent particulièrement les étables où ils sucent le lait des vaches. Le Drac est le plus drôle, le plus bouffon des Fassilières ; jamais il ne nuit d’une manière grave, et ses espiègleries sont tout à fait celles d’un écolier ou d’un page. Si un soigneux garçon d’écurie a tressé les crins d’une mule, le Drac embrouille aussitôt ce qui a été fait ; si l’on a mis du foin dans la crèche, il l’éparpille à terre et le remplace par du fumier ; si l’on a sellé le cheval qui doit se mettre en voyage, il retourne malignement la selle, en sorte que la croupière renferme les oreilles et la bride enlace la queue. Après cela, il se métamorphose en ruban, en peloton, pour tourmenter les jeunes filles, qui ne peuvent alors parvenir à nouer ce ruban sur leur tête ou à faire un seul point sans que le fil ne casse. C’est un terrible persécuteur que ce Drac ! Toutefois, on peut aussi l’attraper à son tour. Ainsi, par exemple, on place du petit millet sur une planche de l’étable ; le démon ne manque jamais de renverser cette graine, et toujours aussi il cherche à la ramasser ; mais comme ses mains sont percées à jour de même qu’un crible, il ne peut réussir à prendre le millet à poignée, ce qui le met dans une fureur telle, qu’il s’enfuit de l’étable et n’y revient plus de longtemps. La Saurimonde est, au contraire, le modèle de la perfidie la plus atroce. Qu’on se représente un bel enfant aux cheveux blonds et bouclés, aux yeux bleus et à la bouche rosée, abandonné au bord d’une fontaine ou dans le carrefour d’une forêt, et appelant de sa douce voix et de ses sanglots une âme charitable qui veuille l’adopter. Une âme charitable ! Où n’en trouve-t-on pas ! L’espèce humaine est si compatissante ! Les coeurs expansifs ne manquent pas, surtout parmi les bergers et les pastourelles. Tantôt c’est un brave garçon qui emporte l’enfant sous sa cape, et qui va le déposer sur les genoux de sa vieille mère, en la priant d’élever le pauvre orphelin ; d’autres fois, c’est une bonne jeune fille qui jure sur la petite croix qui pend à son cou qu’elle ne se séparera jamais du gentil frère que la Providence lui a donné. De part et d’autre, religieuse observation de la promesse. L’enfant grandit. Alors, presque toujours, il devient la femme du berger, qui se trouve avoir contracté mariage avec le diable, ou il endoctrine si bien la vierge qui l’a adopté, qu’il l’oblige également à vouer son avenir à l’enfer. Les fantômes nocturnes, que les Romains nommaient Lémures ou Larves, et que les Écossais appellent aujourd’hui Gobelins, sont aussi le sujet d’une vive appréhension dans la montagne Noire où l’on cherche à se débarrasser par une foule de moyens de leur prétendue poursuite. Dans le canton de Labruguière, par exemple, la veille des Rois, les habitants parcourent les rues avec des sonnettes, des chaudrons, tous les ustensiles enfin qui constituent l’harmonie d’un charivari ; puis, à la lueur des torches et des tisons enflammés, ils se livrent à un vacarme infernal et à des huées de toute espèce, espérant par là chasser les revenants et la malins esprits. Cette coutume est absolument celle que pratiquaient les Romains dans les Lémuries, fêtes qu’ils célébraient le neuvième jour de mai, et qui avaient de même pour objet d’expulser les ombres et les fantômes qui apparaissaient la nuit. Cette fête durait trois nuits avec l’intervalle d’une nuit entre deux. On jetait des fèves dans le feu qui brûlait sur l’autel, et celui qui sacrifiait, mettant d’abord des fèves dans sa bouche, les jetait ensuite derrière lui en disant Je me délivre, moi et les miens. Cette cérémonie était accompagnée d’un charivari avec des poêles et d’autres vaisseaux de fer qu’on battait, priant les lutins de se retirer, et leur répétant par neuf fois qu’ils s’en allassent en paix sans troubler davantage le repos des vivants. Durant les Lémuries, les temples étaient fermés, et l’on ne faisait aucune noce. On conçoit aisément que les esprits sur lesquels agissent les Fassilières doivent aussi subir l’influence des sorciers. Dans la montagne Noire, on nomme Armaciès celui qui est né le lendemain de la Toussaint, et que l’on suppose être doué alors de la faculté de seconde vue c’est le Taishar des Écossais. Chez ce dernier peuple, on célèbre, dans la nuit qui précède la Toussaint, une fête nommée Halloween durant laquelle il y a, disent les croyants, une sorte de trêve entre l’homme et les génies, ce qui donne aux intelligences les plus vulgaires le moyen de connaître l’avenir. Dans les environs d’Angles, le sorcier s’appelle Pary. On le consulte surtout pour écarter le renard des métairies ; ce qu’il obtient en faisant des conjurations aux quatre angles de la maison. Les poules sont alors en sûreté. Toutefois, il faut que le maître du logis se garde bien de donner des oeufs aux gens qui quêtent après avoir tué un renard ; car dans ce cas, la conjuration perdrait tout son effet. Les vieilles femmes jouent un grand rôle dans la sorcellerie ; mais, lorsqu’on les trouve dans une étable, opérant un maléfice, on peut, à l’aide de quelques coups de bâton, les obliger à remédier elles-mêmes au mal qu’elles ont commis. Ainsi, lorsque ces méchantes créatures font rendre du sang à une vache, au lieu de lait, il est facile, si on les surprend en flagrant délit, de rétablir la choses dans leur état normal. On force les sorcières à prononcer quelques paroles de leur grimoire, et aussitôt on voit entrer par la porte de l’étable, de petits ruisseaux de lait qui vont reprendre leur place dans le ventre de la vache. Afin que les sorcières demeurent sans puissance sur les vaches, il faut attacher du vif argent au cou de celles-ci, ou bien enfermer un crapaud dans une cruche que l’on tient constamment dans l’étable. Il faut bien se garder de toucher la main d’un sorcier mourant ; car on deviendrait sorcier comme lui. Malheur aussi aux enfants qui naissent le jour d’un fait d’armes leur âme sortira ou rentrera à volonté dans leur corps ; ils tourmenteront force gens durant le sommeil, et deviendront enfin sorciers eux-mêmes sous le nom de masques. Une sorcière de cette classe se trouvait un jour parmi des moissonneurs où elle s’endormit vers le midi. Comme elle était soupçonnée depuis longtemps d’avoir des intelligences avec le diable, on se douta que son âme avait choisi ce moment peur aller en promenade. Pour s’en assurer, on transporta le corps à une certaine distance, et l’on mit une grande cruche à sa place. Quand l’âme revint de son excursion, elle alla en effet se loger dans la cruche, et fit rouler celle-ci de côté et d’autre, jusqu’à ce que se rapprochant du corps, elle s’y rétablit. Ce qu’il y a de remarquable ici, c’est que cette légende, très accréditée dans la montagne Noire, semble aussi avoir été empruntée aux anciens. Hermotine, citoyen de Clazomène, ville d’Ionie, dans l’Asie Mineure, avait une âme qui se séparait souvent de son corps pour aller se promener en divers lieux. Un jour, qu’il avait prescrit à sa femme qu’on ne touchât point à son corps quand on le verrait immobile, et qu’elle n’en avait tenu compte, elle en parla à ses voisins qui vinrent aussitôt brûler le corps, ce qui empêcha l’âme d’y entrer, et l’obligea d’aller se réfugier dans un vase qu’elle faisait rouler çà et là.
Pourquoi Luz de Maria de Bonilla? Ce qui suit est adapté du livre le plus vendu, L'AVERTISSEMENT Témoignages et prophéties de l'illumination de la conscience. Luz de María de Bonilla est une mystique catholique, stigmatiste, épouse, mère, augustinienne du troisième ordre et prophète du Costa Rica, résidant actuellement en Argentine. Elle a grandi dans un foyer très religieux avec une grande dévotion à l'Eucharistie et, enfant, elle a connu les visites célestes de son ange gardien et de la Sainte Mère, qu'elle considérait comme ses compagnes et ses confidentes. En 1990, elle a reçu une guérison miraculeuse d'une maladie, coïncidant à la fois avec une visite de la Sainte Mère et un nouvel appel plus public à partager ses expériences mystiques. Bientôt, elle tomberait dans une extase profonde non seulement en présence de sa famille - son mari et ses huit enfants, mais aussi de personnes proches d'elle qui se sont rassemblées pour prier; et, à leur tour, ils ont formé un cénacle de prière, qui l'accompagne à ce jour. Après des années à s'abandonner à la volonté de Dieu, Luz de María a commencé à souffrir la douleur de la Croix, qu'elle porte dans son corps et son âme. Ce premier événement s'est produit, elle a partagé, le Vendredi Saint Notre Seigneur m'a demandé si je voulais participer à ses souffrances. J'ai répondu par l'affirmative, puis après une journée de prière continue, cette nuit-là, le Christ m'est apparu sur la croix et a partagé ses blessures. C'était une douleur indescriptible, bien que je sache que si douloureuse qu'elle soit, ce n'est pas la totalité de la douleur que le Christ continue de souffrir pour l'humanité. » Revelamos Quen Es la Vidente Luz de María», Foros de la Virgen María, consulté le 13 juillet 2019, C'est le 19 mars 1992 que la Sainte Vierge a commencé à parler régulièrement à Luz de María. Depuis lors, elle a surtout reçu deux messages par semaine et à l'occasion, un seul. Les messages étaient à l'origine des locutions internes, suivis des visions de Marie, venue décrire la mission de Luz de María. "Je n'avais jamais vu autant de beauté", Luz a dit de l'apparition de Mary. C'est quelque chose auquel vous ne pouvez jamais vous habituer. Chaque fois, c'est comme la première. » Plusieurs mois plus tard, Marie et Saint Michel Archange l'ont présentée à Notre Seigneur dans une vision, et avec le temps, Jésus et Marie lui parleraient des événements à venir, comme l'Avertissement. Les messages sont passés du privé au public, et par ordre divin, elle doit les communiquer au monde. De nombreuses prophéties que Luz de María a reçues ont déjà été accomplies, notamment l'attaque contre les tours jumelles de New York, qui lui a été annoncée huit jours à l'avance. Dans les messages, Jésus et Marie expriment leur profonde tristesse devant la désobéissance de l'homme à la loi divine, qui l'a conduit à s'aligner sur le mal et à agir contre Dieu. Ils avertissent le monde des tribulations à venir le communisme et son apogée; la guerre et l'utilisation d'armes nucléaires; la pollution, la famine et les fléaux; révolution, troubles sociaux et dépravation morale; un schisme dans l'Église; la chute de l'économie mondiale; l'apparence publique et la domination mondiale de l'antéchrist; l'accomplissement de l'Avertissement, du Miracle et des châtiments; la chute d'un astéroïde et le changement de géographie terrestre, entre autres messages. Tout cela n'est pas pour effrayer, mais pour pousser l'homme à tourner son regard vers Dieu. Tous les messages de Dieu ne sont pas des calamités. Il y a aussi des proclamations de la résurgence de la vraie foi, de l'unité du peuple de Dieu, du Triomphe du Cœur Immaculé de Marie et du Triomphe final du Christ, Roi de l'Univers, quand il n'y aura plus de divisions, et nous serons un seul peuple sous le Seul Dieu. Le père José María Fernandez Rojas est resté aux côtés de Luz de María en tant que confesseur depuis le début de ses locutions et visions, et deux prêtres travaillent avec elle en permanence. Les messages qu'elle reçoit sont des enregistrements audio de deux personnes puis transcrits par une religieuse. Un prêtre corrige l'orthographe, puis un autre examine les messages avant de les télécharger sur le site Web, à partager avec le monde. Les messages ont été rassemblés dans un livre intitulé, Ton Royaume Vienset le 19 mars 2017, Juan Abelardo Mata Guevara, SDB, évêque titulaire d'Estelí, au Nicaragua, leur a accordé l'Imprimatur de l'Église. Sa lettre a commencé Estelí, Nicaragua, Année de Notre Seigneur, 19 mars 2017 Solennité du patriarche Saint Joseph Les volumes qui contiennent LA RÉVÉLATION PRIVÉE» du ciel, donnés à Luz de María de l'année 2009 à nos jours, m'ont été donnés pour l'approbation ecclésiastique respective. J'ai revu avec foi et intérêt ces volumes intitulés THY KINGDOM COME, et j'en suis venu à la conclusion qu'ils sont un appel à l'humanité pour retourner sur le chemin qui mène à la vie éternelle, et que ces messages sont une exhortation du ciel en ces temps dans lequel l'homme doit faire attention à ne pas s'éloigner de la Parole divine. Dans chaque révélation donnée à Luz de María, Notre Seigneur Jésus-Christ et la Bienheureuse Vierge Marie guident les étapes, le travail et les actions du peuple de Dieu en ces temps où l'humanité a besoin de revenir aux enseignements contenus dans les Saintes Écritures. Les messages dans ces volumes sont un traité de spiritualité, de sagesse divine et de morale pour ceux qui les accueillent avec foi et humilité, je vous les recommande donc de lire, méditer et mettre en pratique. JE DÉCLARE que je n'ai trouvé aucune erreur doctrinale qui porte atteinte à la foi, à la moralité et aux bonnes habitudes, pour laquelle j'accorde à ces publications l'IMPRIMATUR. Avec ma bénédiction, j'exprime mes meilleurs vœux pour que les Paroles du ciel» contenues ici résonnent dans chaque créature de bonne volonté. Je demande à la Vierge Marie, Mère de Dieu et Notre Mère, d'intercéder pour nous afin que la volonté de Dieu s'accomplisse ". . . sur Terre comme au ciel Mt 6, 10. » IMPRIMATUR Juan Abelardo Mata Guevara, SDB Évêque en chef d'Estelí, Nicaragua Ci-dessous est une présentation donnée par Luz de María dans la cathédrale d'Esteril au Nicaragua, avec une introduction donnée par Mgr Juan Abelardo Mata qui lui a accordé l'Imprimatur Cliquez ici pour voir la vidéo. En effet, un consensus international semble s'être dégagé selon lequel les messages de Luz de Maria de Bonilla méritent d'être pris en considération. Il y a plusieurs raisons à cela, qui peuvent être résumées comme suit • Le Imprimatur de l'Église catholique, accordé par l'évêque Juan Abelardo Mata Guevara d'Esteril en 2017 aux écrits de Luz de Maria après 2009, ainsi qu'une déclaration personnelle affirmant sa croyance en leur origine surnaturelle. • Le contenu théologique et la pédagogie constamment élevés de ces messages et dévotions. • Le fait que bon nombre des événements prévus dans ces messages explosions volcaniques dans des endroits spécifiques, attaques terroristes dans des endroits particuliers, comme Paris se sont déjà réalisés avec une grande précision. • La convergence étroite et détaillée, sans soupçon de plagiat, avec des messages provenant d'autres sources sérieuses dont Luz de Maria semble avoir personnellement ignoré comme le père Michel Rodrigue et les visionnaires à Heede, en Allemagne, à l'époque du troisième Reich. • L'existence d'un nombre considérable de phénomènes mystiques en cours accompagnant Luz de Maria stigmatisation, crucifix saignant en sa présence, images religieuses dégageant du pétrole. Parfois, ils sont en présence de témoins pour lesquels nous avons des preuves vidéo voir ici. Pour en savoir plus sur Luz de Maria de Bonilla, voir le livre, L'AVERTISSEMENT Témoignages et prophéties de l'illumination de la conscience.
croyance que tout objet a une âme